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L’agglomération caennaise (au sens Insee) apparaît socialement divisée entre, d’une part, l’ouest et l’est, et d’autre part, le centre et la périphérie. La position sociale des habitants et le marché du logement expliquent en partie cette organisation. En effet, les emplois, les services et les aménités (ensemble d’éléments qui rendent un lieu avantageux pour y habiter) ne sont pas répartis de manière homogène. L’hypercentre apparaît à ce titre très convoité, les logements étant plus disponibles et abordables en périphérie.

Toutes les planches de :

• Les Gilets jaunes à Caen : appropriation de l’espace et contestation politique
• Qui sont les Gilets Jaunes mobilisés à Caen ?
• Se déplacer pour travailler dans l’aire urbaine : des flux multiples
• Se loger dans l’aire urbaine : 50 ans de mutations
• Quelle géographie des emplois dans l’aire urbaine caennaise ? Une forte concentration des emplois très qualifiés
• La division socio-résidentielle dans l’aire urbaine de Caen en 2015
• « Dis-moi où tu habites, je te dirai qui tu es », La division socio-résidentielle dans l’agglomération caennaise
• Une aire urbaine de plus en plus tertiaire et des communes aux activités spécialisées (2015)
• Habitat et logement dans l’aire urbaine caennaise en 2015
• Caen vue par l’INSEE : les 201 communes de l’aire urbaine

Résumé : fr

Le mode d’occupation du sol (MOS) permet de représenter, à un moment donné, la couverture physique du territoire ainsi que l’usage qui en est fait. Il permet de décrire de manière fine la répartition de l’occupation et de l’usage du sol à l’échelle cadastrale. Lorsqu’il est réalisé à différentes dates, cela permet de quantifier et de qualifier les changements. À l’échelle de Caen Métropole, la dernière version du MOS a été établie à partir d’une campagne de photographies aériennes de 2016.

Toutes les planches de :

• L’occupation du sol de Caen Métropole : un outil au service de l’aménagement du territoire
• Ménages entrants et sortants de Caen la Mer : qui sont-ils ?
• Maturations périurbaines et amorce d’un système urbain
• Les dynamiques sociales des espaces périurbains caennais
• Plusieurs générations d’espaces périurbains

Résumé : fr

À la fin des années 1950, Hérouville-Saint-Clair est une petite commune rurale de moins de 2 000 habitants. Elle en compte aujourd’hui près de 23 000 selon l’Insee (2017). Comment cette localité, choisie dans les années 1960 par l'autorité préfectorale, est-elle devenue une zone à urbaniser en priorité (ZUP), dans le cadre d’une procédure administrative d'urbanisme opérationnel ? Comment ses partis pris architecturaux et urbanistiques en ont-ils fait une ville laboratoire ? De quelle manière enfin son image et sa composition sociale ont-elles été bouleversées pour devenir la deuxième « ville » du Calvados ?

Toutes les planches de :

• Hérouville-Saint-Clair : une ville nouvelle exemplaire ?
• Faire la ville sur la ville. Les nouveaux défis d’Hérouville-Saint-Clair